L’atterrissage est toujours rude, après le FIBD Angoulême. Je pourrais vous raconter cette édition en détail, comme la précédente, mais à quoi bon. C’est un petit peu comme une colonie de vacances. On se fait des amis pour la vie, qu’on ne reverra peut-être jamais. Sauf à la colo d’après. Et bien sûr, chaque semaine,