Je suis en train de lire 20 Master Plots and How to Build Them, de Ronald B. Tobias : c’est un ouvrage très intéressant sur l’art de construire l’intrigue de votre histoire (roman, film, scénario de BD, à vous de voir). Pour commencer son livre, l’auteur nous propose quelques définitions que je vais reformuler ici.
intrigue
Writing for comics : la conclusion d’Alan Moore
Voici un petit récapitulatif de mes notes de lectures à propos de l’essai sur l’écriture BD d’Alan Moore : « Writing for Comics ». Bonne lecture !
Alan Moore sait comment construire un univers de BD
Comment donner de la personnalité à un lieu et à des personnages ? Pour la caractérisation, pas de secret, le plus simple est carrément de s’inspirer de vrais gens, à commencer par soi-même…
Alan Moore : l’intrigue au service de l’idée
Dans l’essai « Alan Moore’s Writing for Comics » écrit au milieu des années 80 par le scénariste anglais, nous découvrons comment l’auteur développe un projet de comic book. Comment et surtout pourquoi car, pour Alan Moore, tout commence par une idée de départ : il faut penser la BD. Il faut la penser afin de créer une œuvre pertinente. Une histoire qui a réellement un sens. Une histoire utile.
L’intrigue est nouée : en avant pour l’aventure
Morphologie des contes de fées. Nous attaquons à présent la partie obligatoire, le corps du conte. Là, on entre dans l’intrigue qui se noue au moment du méfait.
Quo vadis ?
Pour King, l’utilisation d’un synopsis équivaut à l’usage d’un marteau-piqueur sur un chantier archéologique. Oui, on va obtenir quelque chose… mais ça va se voir. Son argument principal, c’est tout simplement que la vie – la vraie vie – ne suit pas un synopsis. Pourtant, à mon avis, c’est inexact.