Sauver la langue française, c’est refuser de la rendre jetable. Certes, la langue française ne mourra pas d’un coup. Elle ne s’effondrera pas dans un fracas spectaculaire, comme un château de cartes soufflé par la modernité. Non, mais elle s’effrite. Elle se délite doucement, par paresse, par mode, par ignorance. Elle se vide de sa
français
Annuler ou interrompre ?
On annule pas une série TV : on l’interrompt. Ou on l’arrête. On y met fin. Mais on ne l’annule pas. C’est un anglicisme ! L’incursion croissante d’anglicismes dans la langue française est le symptôme d’un appauvrissement culturel et linguistique qui nous guette si nous n’y prenons pas garde.
De l'art de bien terminologuer
Un billet intitulé « En Français dans le Texte » sur le blog de Pierre Assouline ne pouvait qu’attirer mon attention. D’autant qu’il traite d’un de mes sujets favoris : la défense de la langue française.
De la francophonie
Être francophone va au-delà de la simple utilisation d’une langue. C’est un engagement envers une tradition vivante, une ouverture aux échanges interculturels et une défense de la richesse que les langues apportent à l’humanité. Résister à l’anglicisation excessive et encourager l’épanouissement du français, c’est défendre une part essentielle de notre héritage culturel. C’est une affirmation de notre identité, de notre histoire et de notre capacité à façonner l’avenir tout en restant fidèles à nos racines linguistiques.